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La dissolution de l'Assemblée nationale a été "exigée par Jordan Bardella" et "restera une tache sur le quinquennat d'Emmanuel Macron, une de plus", a jugé le chef de file de la liste PS-Place publique Raphaël Glusckmann sur TF1 dimanche.
"La majorité présidentielle et le président de la République lui-même se sont avérés complètement incapables - et la décision de ce soir vient encore de le montrer - de faire face à leur responsabilité historique", selon Raphaël Glucksmann pour lequel "ce jeu-là est extrêmement dangereux".
Le premier secrétaire du PS Olivier Faure a lui estimé que "la sanction ce soir est tellement lourde que le président de la République n'avait au fond pas d'autre choix que de revenir aux urnes."
En votant pour le RN, "vous n'aurez pas un centime de plus dans vos poches", a-t-il prévenu, "le 30 juin faut pas se tromper, si on veut que ça change, c'est à gauche".
"On n'a jamais eu peur du peuple. Le peuple va être consulté et c'est très bien et nous serons au rendez-vous", a encore dit Olivier Faure.
