Accueil Actu

L'épilation définitive séduit de plus en plus de Belges: un patient sur quatre est un homme

L’épilation définitive attire de plus en plus de Belges. En quelques séances, elle permet de brûler notre pilosité et d’empêcher les allers-retours dans les centres esthétiques.

Dans un centre d'esthétique de Liège, nous avons rencontré Dogan. Il vient pour la deuxième fois. D’ici six séances de laser et quelques grimaces, il n’aura plus un poil sur les pommettes. "Faute de mes origines, j'ai une pilosité qui est quand même marquée", confie-t-il durant l'intervention. Il nous explique son choix pour l'épilation définitive: "par facilité et simplicité pour gagner du temps".

Au bout de huit séances en moyenne, on a une épilation à 90% des poils

Comme Dogan, environ 25% des patients sont des hommes. L’épilation définitive séduit chaque année de plus en plus d’adeptes de tous les sexes. Dans le centre que nous avons visité à Liège, ils sont 700 chaque mois. Le principe: le bulbe du poil est brulé par la lumière de manière définitive. "Une grosse partie des poils sont détruits à vie, et il reste 10 à 15% d'un petit duvet blond ou noir. Ça dépend de l'âge. En-dessous de 30 ans, il va falloir refaire quelques séances", précise Jérôme Garbay, médecin esthétique non-chirurgical.

Aisselles, maillots, jambes, visage: toutes les zones peuvent être soumises au laser moyennant une analyse médicale préalable. Une opération qui faudra répéter. "Avec la première séance, on voit les résultats. Pendant un mois, un mois et demi, on est tranquille. Mais ça va revenir, donc il faut insister tous les deux ou trois mois. On insiste, on insiste, et au bout de huit séances en moyenne, on a une épilation à 90% des poils", explique Jérôme Garbay.

Côté tarif, comptez 130€ pour un forfait aisselles et maillot. L’acte en lui-même n’est pas dangereux. En revanche, le type de laser utilisé peut entraîner des brûlures plus importantes.

À lire aussi

Sélectionné pour vous