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Après l’annonce de la démission de la ministre francophone de l’Enseignement supérieur, Valérie Glatigny, et à un an des élections, il va falloir rapidement, trouver quelqu'un pour reprendre ses mandats. Qui pourrait la remplacer ?
Il y a beaucoup de tractations, les téléphones vont chauffer au sein du mouvement réformateur. Même si on sait qu’à la fin, c’est le président du MR, Georges-Louis Bouchez qui décidera du ou de la remplaçante de Valérie Glatigny. Il y a quelques critères à prendre en compte : Valérie Glatigny est une femme bruxelloise. Il faudra sans doute que le ou la remplaçante soit issu de la même région. Sur le genre, c’est peut-être un peu moins important. L’actuel gouvernement de la Fédération Wallonie Bruxelles est composé de trois femmes et deux hommes. Et puis, il y a sans doute à prendre en compte un équilibre, un compromis à trouver entre une personne qui est opérationnelle directement pour reprendre les dossiers de Valérie Glatigny, par exemple l’Enseignement supérieur, et la possibilité d’offrir une certaine visibilité à une personnalité politique en vue des élections l’année prochaine.
Une chose est sûre, le suspense ne devrait pas être trop long. Le mouvement réformateur a déjà annoncé une conférence de presse demain à 10h au siège de ce parti pour présenter le ou la remplaçante de la ministre.
