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La Cellule de coordination des actions de terrain (CCAT), accusée par les autorités d'être à l'origine du soulèvement contre la réforme électorale en Nouvelle-Calédonie, a exigé lundi "la libération et le retour immédiat" de ses militants envoyés dimanche en métropole pour y être incarcérés.
"Nous exigeons la libération et le retour immédiat des frères et sœurs pour être jugés sur leur terre", a affirmé la CCAT dans un communiqué, dénonçant les "tactiques coloniales" de la France après l'arrestation et le transfert de ces indépendantistes, dont le porte-parole de la CCAT Christian Tein.