L'armée israélienne a indiqué dimanche avoir tué des combattants du Hezbollah dans le sud du Liban, quelques jours après l'entrée en vigueur d'un cessez-le-feu fragile entre Israël et le mouvement libanais soutenu par l'Iran.
La branche armée du mouvement islamiste palestinien Hamas a annoncé samedi la mort, dans une zone de combats dans le nord de Gaza, d'une otage enlevée lors des attaques du 7 octobre 2023, une affirmation non confirmée par l'armée israélienne.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis jeudi des mandats d'arrêt contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, l'ancien ministre israélien de la Défense Yoav Gallant et le chef de la branche armée du Hamas Mohammed Deif.
Les Etats-Unis ont empêché mercredi le Conseil de sécurité de l'ONU d'appeler à un cessez-le-feu "immédiat, inconditionnel et permanent" à Gaza, un nouveau veto en soutien à leur allié israélien.
L'armée israélienne a mené des raids aériens intenses samedi contre des fiefs du Hezbollah au Liban, au lendemain de l'annonce de l'examen par les dirigeants libanais d'une proposition de trêve émise par les Etats-Unis.
Israël a annoncé jeudi l'élimination de Yahya Sinouar, chef du Hamas et cerveau présumé des attaques du 7 octobre 2023, lors d'une opération à Rafah dans le sud de Gaza. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a qualifié cette mort d'"étape importante" dans le déclin du Hamas, tout en soulignant que la guerre n'était pas terminée.