Yahya Sinouar, chef du Hamas et considéré par Israël comme le cerveau du 7 octobre, a été tué à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza. Voici ce que l'on sait sur cette opération militaire et sur la mort de Yahya Sinouar.
Le Hamas a affirmé vendredi que les otages retenus dans la bande de Gaza ne seraient pas libérés tant qu'Israël ne mettrait pas fin à son offensive, malgré la mort de son chef, Yahya Sinouar, qui a porté un coup sévère au mouvement islamiste palestinien.
L'armée israélienne a éliminé le chef du Hamas, lors d'une opération dans la bande de Gaza. Est-ce que ça pourrait être un coup décisif porté au mouvement islamiste palestinien, après un an de guerre?
L'armée israélienne a annoncé, ce jeudi, vérifier si le chef du Hamas, Yahya Sinouar, avait été "éliminé" lors d'une opération dans la bande de Gaza. Qui est cet "architecte de l'attaque du 7 octobre"?
Israël a annoncé la mort de Yahya Sinouar, chef du Hamas et cerveau de l'attaque du 7 octobre, tué lors d'une opération à Gaza. Benjamin Netanyahu a toutefois déclaré que la guerre "n'était pas encore terminée".
Au moins 15 personnes ont été tuées samedi dans des raids israéliens sur trois villages au nord et au sud de Beyrouth, hors des fiefs du Hezbollah pro-iranien, rapporte le ministère libanais de la Santé.
Des larmes, du silence et beaucoup d'hommages aussi. Israël a commémoré, ce lundi, le premier anniversaire de l'attaque terroriste du Hamas, un 7 octobre qui a marqué l'histoire du pays. Ce jour-là, des membres du mouvement islamiste palestinien avaient fait irruption dans des kibbouts et dans un festival de musique. Il y avait eu plus de 1200 morts et 250 personnes prises en otage.
Une vive polémique oppose Benyamin Netanyahou et Emmanuel Macron. Le président français et le Premier ministre israélien se sont entendus hier soir au téléphone dans la foulée de l'appel d'Emmanuel Macron pour l'arrêt des livraisons d'armes à Israël.
A la veille de l'anniversaire du massacre du 7 octobre, de violents bombardements aériens israéliens sur la banlieue sud de Beyrouth ont terrorisé les habitants de la capitale libanaise dimanche, à la veille du premier anniversaire de l'attaque du Hamas palestinien contre Israël qui a déclenché la guerre à Gaza.
La Belgique libère deux millions d'euros supplémentaires en faveur de programmes d'enseignement destinés aux enfants palestiniens contraints de fuir les affrontements, a annoncé vendredi le ministre de la Coopération, Frank Vandenbroucke.