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"J'ai les dents qui poussent", "Si tu pars, je te quitte": redécouvrez les répliques cultes de Michel Blanc

Michel Blanc est décédé ce vendredi dans la nuit. Devant et derrière la caméra, dans des comédies comme dans des drames, ce monstre du cinéma français a touché à tout. Mais si on se souvient de lui, c'est aussi pour toutes ses répliques cultes qui restent encore aujourd'hui dans les mémoires. En voici quelques-unes.

"J'ai du mal à parler, j'ai les dents qui poussent" – Marche à l'ombre 1984

Le premier des cinq films qu'il réalise. SDF de retour en France, Denis (Michel Blanc), éternel râleur hypocondriaque, veut se relancer dans la musique avec son copain baroudeur, le beau gosse François (Gérard Lanvin).

"Je vais t'arranger le coup" - Viens chez moi j’habite chez une copine 1981

Guy (Michel Blanc) travaille comme pompiste dans une station-service. Son ami Daniel (Bernard Giraudeau) est déménageur dans une petite entreprise. Il se fait renvoyer de son travail parce que son patron apprend qu'il arnaque les clients en facturant des prestations non effectuées. C'est l'une de ses nombreuses collaborations avec Patrice Leconte.

Florilège dans les Bronzés - 1978, 1979, 2006

La troupe du Splendid transpose au cinéma son succès de café-théâtre ("Amour, coquillages et crustacés") avec "Les Bronzés", réalisé par Patrice Leconte. Gros succès puis carton encore plus énorme, un an plus tard, avec "Les Bronzés font du ski". Deux films devenus cultes.

"Avec un D comme Dusse", "Dans dix minutes, je nous considère comme définitivement perdus" ou encore le célébrissime "Quand te reverrai-je pays merveilleux". On ne compte plus les répliques et autres scènes cultes de Michel Blanc dans la saga Les Bronzés.

"Si tu pars, je te quitte" - Ma femme s’appelle reviens 1982

Encore un film de Patrice Leconte dans lequel, Bernard (Michel Blanc) est brutalement quitté par sa femme et tente de la rattraper coûte que coûte… mais en vain. Une nuit, il rencontre Nadine, photographe de mode, qui se trouve être sa voisine de palier. Déprimée par le chaos de sa vie sentimentale, elle lie avec Bernard une réelle complicité.

"Je t'enc*** Thérèse" – Le père Noël est une ordure 1982

La permanence téléphonique parisienne SOS détresse-amitié est perturbée le soir de Noël par l'arrivée de personnages marginaux farfelus qui provoquent des catastrophes en chaîne.

Si Michel Blanc n'apparaît pas à l'écran (il avait déjà claqué la porte du Splendid pour le cinéma), il est bien crédité au générique de cette comédie qu'on ne présente plus. Il fait un caméo vocal dans une scène inoubliable du film. Il joue le pervers du téléphone dont on ne connaît même pas le nom qui dit "Je t'enc*** Thérèse".

La scène est également présente dans la pièce de théâtre, mais ce n'est alors pas Michel Blanc qui fait la voix.

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