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L'histoire s'est déroulée la semaine dernière dans la petite ville américaine de Richland, aux Etats-Unis. La police du département a, comme à son habitude, utilisé Facebook pour publier un avis de recherche et tenter de toucher un maximum de monde.
Il concernait un certain Anthony Akers, 38 ans, activement recherché par la police. Mais il a surpris tout le monde en commentant la publication qui le concernait.
"Calmez-vous, je vais me rendre", a-t-il écrit en commentaire sous son propre avis de recherche.
Ne le voyant pas arriver, la police a décidé d'insister : "Anthony ! Nous ne t'avons pas encore vu. Nos bureaux sont ouverts de 8 heures à 17 heures du lundi au vendredi. Bien sûr, si tu as besoin qu'on vienne te cherche, tu peux nous appeler. Nous viendrons te chercher", ont-il alors écrit à l'adresse du suspect.
Et à nouveau, Anthony Akers a répondu, décidément pas pressé de se retrouver sous les verrous. "Merci, j'ai plusieurs choses à faire, je vais probablement rester enfermer un mois. Je devrais être là dans les 48 heures", a-t-il écrit à son tour.
Au bout de plusieurs jours, il s'est finalement rendu, postant une photo de lui en selfie devant le bureau de police : "Me voilà pour notre rendez-vous mon cœur", a-t-il écrit.
Les abonnés à cette page Facebook se sont régalés à lire et commenter les échanges entre Anthony Ackers et la police. Rien que le commentaire : "Calmez-vous, je vais me rendre" a généré plus de 8.500 "j'aime".