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DIRECT - Guerre en Ukraine: Russes et Ukrainiens s'accordent sur des "couloirs humanitaires", Poutine hausse le ton face à Macron

DIRECT - Guerre en Ukraine: Russes et Ukrainiens s'accordent sur des "couloirs humanitaires", Poutine hausse le ton face à Macron
© Images Belga
 
UKRAINE
 

L'Ukraine et la Russie ont convenu jeudi, à l'issue d'une deuxième session de pourparlers, d'organiser des "couloirs humanitaires" pour l'évacuation des civils des zones de combats, ont annoncé les deux parties.

DIRECT RTL INFO

21h30 - L'Allemagne va livrer à l'Ukraine 2.700 missiles antiaériens 

L'Allemagne a décidé d'accroître ses livraisons d'armes à l'Ukraine en guerre, en lui dépêchant 2.700 missiles antiaériens supplémentaires, tous - curieuse ironie de l'Histoire - de fabrication soviétique. Berlin "a approuvé un soutien supplémentaire à l'Ukraine", a indiqué à l'AFP une source gouvernementale, en parlant de missiles de type Strela, qui proviennent des stocks de l'armée de l'ancienne Allemagne de l'Est communiste.

Ces stocks, acquis auprès de l'Union soviétique, avaient été intégrés dans ceux de l'armée nationale allemande, la Bundeswehr, lors de la réunification allemande en 1990, et sont donc vieux de plus de trente ans. En outre, le ministère allemand de la Défense a fait parvenir ces derniers jours 18.000 casques militaires supplémentaires à Kiev, s'ajoutant à une première livraison de 5.000 unités.

Berlin avait déjà autorisé samedi la livraison à Kiev de 500 missiles antiaériens de type Stinger, de 1.400 lance-roquettes antichar et de neuf obusiers, tous arrivés entre-temps en Ukraine. Les obusiers sont aussi de fabrication soviétique.

20h26 - Presque toutes des troupes russes à la frontière sont en Ukraine, selon le Pentagone

Selon les estimations d'un fonctionnaire haut gradé de la Défense américaine, 90% des troupes russes précédemment rassemblées à la frontière avec l'Ukraine sont désormais entrées dans le pays, a-t-on appris jeudi. Le fait que de nouvelles unités pénètrent chaque jour dans le pays n'indique en aucun cas "que leur force de combat en Ukraine est tellement affaiblie qu'ils se sentent épuisés". La Russie disposerait encore d'immenses ressources militaires, selon cette source.

Les troupes qui progressent ne sont, en outre, pas des réserves, précise-t-on. Rien n'indique non plus pour l'instant que Moscou envoie des ressources militaires supplémentaires en Ukraine. La Russie a rassemblé pas moins de 150.000 soldats à la frontière avec l'Ukraine avant d'entamer son invasion à la fin février. Depuis le début de la guerre, elle a tiré plus de 480 missiles, a déclaré le fonctionnaire de la Défense américaine. Plus de 230 d'entre eux ont été tirés en Ukraine, 160 depuis la Russie et 70 depuis le Bélarus. Dix missiles ont également été lancés depuis la mer Noire.

19h41 - Un million de réfugiés ont fui l'Ukraine en une semaine

Un million de réfugiés ont fui l'Ukraine à destination des pays voisins depuis le début de l'invasion russe il y a une semaine, a affirmé jeudi le haut-commissaire des Nations unies aux réfugiés, Filippo Grandi. "En seulement sept jours, nous avons assisté à l'exode d'un million de réfugiés depuis l'Ukraine vers les pays voisins", a tweeté M. Grandi.

"Pour des millions d'autres, à l'intérieur de l'Ukraine, il est temps que les armes se taisent pour que l'assistance humanitaire puisse arriver et sauver des vies", a-t-il imploré. M. Grandi prévoyait de se rendre au cours des prochains jours en Roumanie, en Moldavie et en Pologne, trois pays accueillant un grand nombre de réfugiés ukrainiens. M. Grandi a ajouté qu'en près de 40 ans d'expérience dans la gestion de situations il avait "rarement vu un exode aussi rapide".

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19h38 - L'avancée des troupes russes après une semaine de combats

18h55 - L'Ukraine et la Russie s'accordent sur des "couloirs humanitaires" pour l'évacuation des civils

L'Ukraine et la Russie ont convenu jeudi, à l'issue d'une deuxième session de pourparlers, d'organiser des "couloirs humanitaires" pour l'évacuation des civils des zones de combats, ont annoncé les deux parties.

"La deuxième session de négociations est terminée. Malheureusement, il n'y a pas encore les résultats escomptés pour l'Ukraine. Il n'y a qu'une solution pour organiser des couloirs humanitaires", a écrit sur Twitter Mikhaïlo Podoliak,conseiller de la présidence ukrainienne et membre de la délégation de son pays. "La seule chose que je peux dire est que nous avons discuté en détail des aspects humanitaires parce que beaucoup de villes sont actuellement encerclées" par les forces russes, a-t-il ajouté. Il s'est inquiété d'une "situation dramatique avec la nourriture, les médicaments, les possibilités d'évacuation". Selon une déclaration ensuite lue par M. Podoliak, Moscou et Kiev vont mettre en place des "couloirs humanitaires pour l'évacuation de la population civile, ainsi que pour l'acheminement de médicaments et de vivres vers les zones où les combats sont les plus violents". Cela inclut "la possibilité d'un cessez-le-feu temporaire pendant la période d'évacuation, dans les secteurs où elle a lieu".

Le chef de la délégation russe, Vladimir Medinski, a quant à lui indiqué que les pourparlers avaient porté sur les questions humanitaire, militaire et de "règlement politique futur du conflit". Selon lui, il y a une "compréhension mutuelle" sur "certains points". "La question principale qui a été résolue aujourd'hui est celle du sauvetage des civils qui se sont retrouvés dans la zone des affrontements", a-t-il ajouté, confirmant le projet de "couloirs humanitaires". "Je crois que c'est un progrès important", a-t-il dit. "Dans un avenir très proche, les parties prendront toutes les mesures nécessaires pour que les gens puissent sortir en toute sécurité de ces zones, il n'y a rien de plus important", a abondé un autre membre de la délégation russe, le député Léonid Sloutski. Les négociations se tenaient dans la région bélarusse de Brest, à Belovejskaïa Poucha, une localité proche de la frontière avec la Pologne. Une première rencontre s'était terminée lundi sans avancées concrètes.

18h35 - L'opération militaire en Ukraine "se déroule selon le plan", assure Poutine

Le président russe Vladimir Poutine a assuré jeudi que l'opération militaire en Ukraine se déroulait "selon le plan", martelant y combattre des "néonazis" pour sauver Russes et Ukrainiens, qui ne sont selon lui "qu'un seul peuple".

"L'opération militaire spéciale se déroule strictement selon le calendrier, selon le plan", a déclaré M. Poutine à la télévision russe, au huitième jour de l'invasion de l'Ukraine et lors d'une réunion de son conseil de sécurité.

18h28 -  33 morts dans la frappe russe sur la ville de Tcherniguiv

Trente-trois personnes ont été tuées dans une frappe russe sur deux écoles et des habitations de la ville ukrainienne de Tcherniguiv (nord), a annoncé jeudi le service des secours dans un nouveau bilan. Des images du service des situations d'urgence montrent de la fumée s'élevant d'un immeuble résidentiel en ruines, des débris jonchant le sol et des sauveteurs transportant des corps. "L'aviation russe a attaqué deux écoles du quartier de Stara Podsoudovka, les sauveteurs travaillent", avait écrit plus tôt le gouverneur de la région éponyme, Viatcheslav Tchaous, sur son compte Telegram. Jointe par l'AFP, la maire adjointe de la ville, Regina Gousak, a confirmé que Tcherniguiv avait été visée par un "bombardement" russe.

17h56 - La Russie met en garde les combattants étrangers qui voudraient rejoindre l'Ukraine

 La Russie a mis en garde les étrangers qui voudraient venir aider l'armée ukrainienne des conséquences de ce choix. Le porte-parole du ministère russe de la Défense, Igor Konachenkov, a déclaré qu'ils seraient poursuivis s'ils étaient capturés.

"Je voudrais souligner officiellement que les mercenaires envoyés par l'Occident pour aider le régime ukrainien n'auront pas droit au statut de prisonnier de guerre", a-t-il déclaré, selon l'agence de presse Interfax. Igor Konachenkov a ajouté que quiconque penserait à venir en aide à l'Ukraine "devrait y réfléchir à sept fois". La Russie "les poursuivrait s'ils étaient capturés". Le président ukrainien Volodimir Zelensky a appelé les étrangers à venir aider l'armée ukrainienne qui lutte contre la Russie. Jeudi, il estimait que 16.000 étrangers étaient en route pour porter secours aux Ukrainiens. Les premiers d'entre eux seraient déjà arrivés, selon Zelensky.  

17h05 - Zelensky veut parler à Poutine

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dit jeudi vouloir négocier directement avec son homologue russe Vladimir Poutine, le "seul moyen d'arrêter la guerre" entre Kiev et Moscou. "Je dois parler à Poutine (...) car c'est le seul moyen d'arrêter cette guerre", a déclaré M. Zelensky lors d'une conférence de presse, se disant "ouvert" et "prêt à aborder toutes les questions" avec M. Poutine.

16h48 - "Si l'Ukraine tombe, la Russie s'en prendra aux pays baltes et à l'Europe de l'Est" 

Le président ukrainien a appelé jeudi les Occidentaux à accroître leur soutien, martelant que si son pays était défait par la Russie, elle s'attaquerait au reste de l'Europe de l'Est, à commencer par les pays baltes, pour arriver "jusqu'au mur de Berlin".

"Si nous disparaissons, que Dieu nous protège, ensuite ce sera la Lettonie, la Lituanie, l'Estonie etc... Jusqu'au mur de Berlin, croyez-moi", a dit Volodymyr Zelensky à la presse, appelant les Occidentaux à "fermer le ciel" ukrainien aux avions russes ou à lui donner des avions.

16h30 - Le géant pétrolier russe Loukoïl appelle à arrêter la guerre 

Le numéro deux du secteur pétrolier russe Loukoïl a appelé jeudi à "arrêter rapidement" la guerre en Ukraine, devenant la première société nationale d'envergure à s'opposer à l'invasion du pays par Moscou. "Nous prônons un arrêt rapide du conflit armé et soutenons sans réserve son règlement via un processus de négociation et des moyens diplomatiques", a indiqué le conseil d'administration de Loukoïl dans un communiqué.

16h02 - Début des pourparlers Russie-Ukraine à la frontière bélarusso-polonaise

Les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine à la frontière entre le Bélarus et la Pologne ont débuté, au huitième jour de l'invasion russe, a annoncé jeudi le conseiller de la présidence ukrainienne Mikhaïlo Podoliak. "Nous commençons à discuter avec les représentants russes. Les points clés à l'agenda sont un cessez-le-feu immédiat, un armistice et des couloirs humanitaires pour l'évacuation des civils des villes et villages détruits ou constamment bombardés", a dit M. Podoliak sur Twitter, publiant une photo des membres des deux délégations à la table des négociations.

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15h13 - Macron pense que "le pire est à venir" après son échange avec Poutine

Emmanuel Macron pense que "le pire est à venir" en Ukraine après son échange avec Vladimir Poutine, qui a fait part de "sa très grande détermination" à poursuivre son offensive, dont le but est "de prendre le contrôle" de tout le pays, selon l'Elysée.

Lors d'une discussion téléphonique de 1h30 à sa demande, le président russe a affirmé à son homologue français que l'opération de l'armée russe se développait "selon le plan" prévu par Moscou et qu'elle allait "s'aggraver" si les Ukrainiens n'acceptaient pas ses conditions, a indiqué la présidence. "L'anticipation du président (Macron) est que le pire est a venir compte tenu de ce que lui a dit le président Poutine", selon l'Elysée.

14h33 - La Russie veut soumettre Marioupol à un "blocus", selon le maire de la ville

Le maire de la ville stratégique ukrainienne de Marioupol a accusé jeudi les forces russes et prorusses de vouloir assiéger la cité portuaire, empêchant les évacuations et l'approvisionnement de ce principal port ukrainien de la mer d'Azov (sud-est).

"Ils ont détruit les ponts, détruit les trains pour nous empêcher de sortir nos femmes, enfants et vieillards. Ils nous empêchent de nous approvisionner", a déclaré Vadim Boïtchenko sur la messagerie Telegram. "Ils cherchent à imposer un blocus, comme à Léningrad", a-t-il ajouté en référence à la ville soviétique redevenue aujourd'hui Saint-Péterbourg, victime d'un terrible siège nazi durant la Seconde Guerre mondiale. 

14h31 - Poutine dit à Macron qu'il continuera "sans compromis" sa lutte contre les "nationalistes" 

Vladimir Poutine a exprimé jeudi son intention de poursuivre "sans compromis" son offensive contre les "nationalistes" en Ukraine, lors d'un entretien téléphonique avec le président français Emmanuel Macron, selon le Kremlin. Lors de cet entretien, M. Poutine a également exprimé son "désaccord" avec un discours la veille de M. Macron consacré à l'Ukraine, et menacé d'ajouter des "exigences supplémentaires" à sa liste déjà longue de demandes envers Kiev en vue de pourparlers, a ajouté la même source.

14h18 - Macron a parlé avec Poutine puis avec Zelensky

Emmanuel Macron a de nouveau parlé jeudi avec son homologue russe Vladimir Poutine, puis a appelé le président ukrainien Volodymyr Zelensky, a annoncé l'Elysée. L'échange avec le président russe, qui a duré 1H30 selon la présidence, est le troisième entre les deux hommes depuis le début de l'invasion de l'Ukraine par l'armée russe le 24 février.

Cet entretien s'est tenu "à la demande du président Poutine", a ensuite précisé le Premier ministre Jean Castex sur TF1. "La situation sur le terrain est incontestablement très défavorable", a-t-il ajouté, en précisant que, "incontestablement, il apparaît que Vladimir Poutine campe sur ses positions, sur sa sa volonté de démilitarisation de l'Ukraine, de reddition de l'Ukraine, et ceci n'est évidemment pas acceptable".

13h40 - La prise de Kherson, "un point symbolique" selon l'expert Nicolas Gosset

Nicolas Gosset, chercheur à l'institut royal de la Défense, était l'invité du RTL INFO 13h. Il nous explique en quoi la prise de la ville de Kherson par l'armée russe est importante. "C'est un point symbolique. C'est la première ville d'importance qui tombe sous contrôle russe", éclaire-t-il. 

13h30 - La situation après une semaine de conflit

11h - L'exode continue

Nos envoyés spéciaux Sébastien Rosenfeld et Maxime Simon se trouvant en Ukraine, observent les longues files dans un poste frontière en Ukraine. "Des personnes attendent et passeront vraisemblablement à pied, avec une simple valise. Elles espèrent faire leur vie de l'autre côté de la frontière", nous rapporte notre journaliste Sébastien Rosenfeld. 

10h53 - Marioupol entièrement cerné, selon Moscou

Marioupol, principal port ukrainien de la mer d'Azov (sud-est), est désormais entièrement cerné, a déclaré jeudi le porte-parole du ministère russe de la Défense, Igor Konachenkov. Des couloirs humanitaires pour permettre la sortie des civils des villes ukrainiennes les plus exposées à l'offensive russe, dont Marioupol, avaient été mis en place, avait annoncé l'armée russe mercredi soir.

8h25  - Russes et Bélarusses ne participeront finalement pas aux Jeux Paralympiques de Pékin

Le Comité international paralympique (IPC) est finalement revenu sur sa décision. Après avoir autorisé mercredi les athlètes russes et bélarusses à participer aux Jeux Paralympiques d'hiver de Pékin du 4 au 13 mars, il a décidé jeudi de ne pas accepter leurs inscriptions.

8h20 - "Il est possible que le pire soit devant nous", s'inquiète un ministre français

"Il est possible que le pire soit devant nous" dans la guerre menée par la Russie en Ukraine, s'est inquiété jeudi le ministre des Affaires étrangères français Jean-Yves Le Drian, alors que l'armée russe a encerclé plusieurs villes ukrainiennes qu'elle pilonne.

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8h - Twitter bloque à son tour les médias russes RT et Sputnik en Europe

Le réseau social Twitter a à son tour bloqué les comptes des médias russes RT et Sputnik dans l'Union européenne, conséquence d'une interdiction décidée par les Etats membres et entrée en vigueur mercredi.

6h25 - L'Allemagne confisque le yacht d'un oligarque russe à Hambourg

Les autorités allemandes ont confisqué le yacht d'un oligarque russe, Alicher Ousmanov, rapporte jeudi le magazine économique américain Forbes sur base de trois sources dans l'industrie nautique. L'Union européenne avait imposé lundi des sanctions envers cet individu.

4h - Prise de Kherson par l'armée russe

Une semaine après le lancement de leur opération, les forces russes ont pris Kherson, grande ville du sud de l'Ukraine, peu avant une deuxième session de discussions jeudi matin sur un cessez-le-feu entre négociateurs russes et ukrainiens. Il s'agit de la plus grande ville prise par les forces russes.

3h30 - Un million de réfugiés

Un million de réfugiés ont fui l'Ukraine à destination des pays voisins depuis le début de l'invasion russe il y a une semaine, a affirmé jeudi le haut-commissaire des Nations unies aux réfugiés, Filippo Grandi. "Pour des millions d'autres, à l'intérieur de l'Ukraine, il est temps que les armes se taisent pour que l'assistance humanitaire puisse arriver et sauver des vies", a-t-il imploré.

3h - Plusieurs explosions à Kiev, des habitants se réfugient dans les stations de métro

Plusieurs explosions ont été entendues dans la nuit de mercredi à jeudi dans la capitale ukrainienne Kiev. Selon l'agence de presse ukrainienne Unian,  une alarme aérienne a également été déclenchée. Les résidents ont été invités à se mettre immédiatement à l'abri, nombreux sont ceux qui se réunissent dans les stations de métro.

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2h30 - Le ciel américain fermé aux avions russes

Un jour après l'annonce par le président américain Joe Biden de la fermeture de l'espace aérien du pays aux avions russes, le ciel s'est fermé pour ces appareils. Les avions de ligne, les charters et les avions de fret sont concernés, confirme le ministère américain du Transport mercredi.

2h - Le procureur de la CPI ouvre une enquête sur la situation 

Le procureur de la Cour pénale internationale a annoncé mercredi soir "l'ouverture immédiate" d'une enquête sur la situation en Ukraine, où seraient perpétrés des crimes de guerre, après avoir reçu le feu vert de 39 Etats parties de la CPI.

1h30 - Spotify ferme ses bureaux en Russie et retire des contenus

Le géant de la musique en streaming Spotify a annoncé mercredi la fermeture de ses bureaux en Russie et le retrait des contenus sponsorisés par l'Etat russe de son site.

1h - Zelensky se félicite d'avoir contrecarré les plans "sournois" de la Russie

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est félicité dans la nuit de mercredi à jeudi d'avoir contrecarré les plans "sournois" de la Russie qui a envahi son pays, se disant fier de la résistance "héroïque" des Ukrainiens. "Nous sommes une nation qui a cassé les plans de l'ennemi en une semaine. Des plans écrits depuis des années: sournois, pleins de haine pour notre pays, notre peuple", a déclaré M. Zelensky dans une vidéo publiée sur Telegram.


 

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