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Après s'être faite connaître en participant à de multiples télé-réalités, elle en a fait son gagne-pain. En quelques années, Milla Jasmine est devenue une influenceuse de renom en France. Avec 2,5 millions de followers sur Instagram, elle s'est hissée comme l'une des influenceuses les plus suivies.
En 2015, la jeune femme est révélée dans l'émission Les Princes de l'amour sur W9. Ensuite, tout s'enchaîne. Elle multiplie les tournages dans les 4 coins du monde dans des émissions de télé-réalité très suivies. Sur le plateau de TPMP ce vendredi 15 novembre, Milla Jasmine est revenue sur cette expérience. Elle a insisté sur le fait que le métier d'influenceur doit être considérée comme une véritable profession. Rappelons que l'on entend ici par "influenceur", une personne qui dispose d’une notoriété sur les réseaux sociaux. Grâce à cette notoriété, un influenceur est approché par des marques qui lui proposent des collaborations afin de promouvoir ses produits.
"Entre 20 et 50.000 euros"
Les revenus des influenceurs diffèrent selon leur notoriété. Sur le plateau de TPMP, Milla Jasmine a dévoilé le montant de son salaire mensuel. "Ça dépend des mois mais pour donner une fourchette, entre 20 et 50.000 euros", lâche la jeune femme.
Sur le plateau, cette révélation a été plus ou moins bien accueillie par les chroniqueurs. Certains ont estimé que cette somme astronomique n'était pas justifiée au vu de l'investissement que le métier d'influenceur requiert. "En toute honnêteté, j'ai une société, on est en France. Quand les gens entendent 50.000 euros, ils pensent que tout va dans ma poche. Ce n'est pas le cas même si j'aurais aimé", s'est offusquée Milla Jasmine.
"Il faut donner à son public. J'ai accepté d'exposer toute ma vie sur les réseaux sociaux et je pense que c'est pour ça que les gens me suivent", a-t-elle expliqué. La jeune femme indique que la télé-réalité lui a "donner une visibilité et de la lumière" mais que le métier d'influenceur ne se limite pas à cela. "Si t'as de la visibilité et que tu ne sais pas t'en servir, ça part", a-t-elle insisté.
