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Cette semaine, nos pâtissiers amateurs embarquent pour une semaine spéciale "monstre et pâtisserie". Pour la première étape, Cyril Lignac leur a donner comme mission de transformer les gentils petits macarons traditionnels en monstrueux macarons. Le jury fait particulièrement attention à la cuisson de la pâte de macaron, de la visibilité de la collerette, de la garniture et des décors effrayants. Il précise: "Avec Mercotte, on veut avoir peur".
C'est une grande première pour François. Celui-ci n'a jamais fait de macarons. "T’as jamais fait de macarons ?", demande Cyril, très étonné. François précise que non et qu'il va donc en faire avec de la meringue française et non pas italienne. "Aie Aie la meringue française, c’est celle qui pardonne le moins les erreurs", alerte Mercotte. "Il faut macaronner molo molo", poursuit-elle.
"Là c’est chaud pour toi. Sans avoir jamais fait de macarons, des macarons à la meringue française et en plus un gros macaron", prévient Cyril. Mais François est loin d'être déstabilisé et ne craint pas la nouveauté. "Normalement le premier macaron débutant, il est toujours bon alors j’espère". "Ce qui est bien, c’est que tu me fais peur et tu vas te faire peur, ça c’est sûr", dit en rigolant Cyril. Mercotte est tout aussi craintive. "Comme il n’en a jamais fait, il ne met pas toutes les chances de son côté", dit-elle.
Encore une fois, le jury a vu juste. Le macaron à la meringue française est loin d'être une épreuve facile. A la fin de l'épreuve, c'est une catastrophe pour François. Son macaron est trop fin et craque de partout.
"C’est quoi le nom du macarons : il est fossilisé ?", dit Cyril avec ironie. "Qu’est ce que c’est que ce truc ? En tout cas, ça me fait peur", ajoute-t-il. "Il est sous cuit", conclut Mercotte.
