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Henri et Maria-Teresa ou les mariés de la Saint-Valentin
La génération suivante paraît moins disposée à courber le dos en acceptant en silence le poids de leur charge et des conventions. Le prince Jean a renoncé à ses droits en contractant un mariage que désapprouvent ses parents, quant au prince héritier Henri, il impose son choix en convolant avec Maria-Teresa Mestre, une roturière d’origine cubaine. Inutile de préciser que dans la très conservatrice cour luxembourgeoise, il exhale de cette union un parfum de scandale que l’on goûte peu à l’ombre des murs du château de Colmar-Berg. Pour finir, le mariage est célébré à la date éminemment symbolique du 14 février, jour de la Saint-Valentin.
Dans un premier temps, l’ambiance entre la jeune fille et sa belle-mère paraît au beau fixe à tel point que l’on murmure que Joséphine-Charlotte a joué un rôle d’alliée pour emporter l’autorisation des noces. Par la suite, ce ciel radieux s’obscurcit de nuages au point que Maria-Teresa n’hésite pas à incriminer sa belle-mère dans un entretien-choc avec des journalistes. De toute évidence, la vie de cour grand-ducale n’est pas aussi tranquille qu’il n’y paraît !
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Patrick Weber, chroniqueur royal RTL. Retrouvez-moi tous les soirs dans "On refait le monde" sur Bel RTL à 19 heures et dans "Quelle Histoire !" le weekend sur Bel RTL.