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L’arrestation d’un pédophile présumé belge a mené la police anversoise à la découverte de l’horreur en Afrique du Sud. Des bébés violés torturés et tués.
Différents médias internationaux rapportent depuis le 14 janvier qu’un habitant de la ville de Plattenberg Bay en Afrique du Sud a été arrêté pour pédophilie. L’homme de 37 ans, un informaticien, a été repéré et appréhendé grâce à l’arrestation l’année dernière d’un pédophile belge présumé.
Un fichier appelé "Violer et tuer"
La police anversoise s’est servie du profil internet du pédophile présumé après son arrestation pour tenter de débusquer d’autres pédophiles. Sur un site d’échange de fichiers de pédophiles, les policiers ont découvert un fichier appelé "Violer et tuer" et ont noté l’adresse internet de l’informaticien.
334 pédophiles présumés
Ils ont ensuite pris contact avec leurs homologues sud-africains et un enquêteur belge s’est rendu en Afrique du Sud pour les aider. Après avoir à nouveau traqué l’informaticien, ils se sont rendus chez lui avec un mandat de perquisition. Dans son ordinateur, ils ont découvert des traces de vidéos et de photos montrant des agressions violentes, mais aussi, les adresses de 334 pédophiles présumés.
"Ces enfants sont en train d’être maltraités et peut-être tués"
Les policiers en charge de l’affaire ont expliqué avoir découvert l’horreur, des images de bébés et de nourrissons en couche-culotte violés, torturés et tués. "Les images avaient été prises il y a peu, certaines durant la semaine dernière. Ce qui veut dire que ces enfants sont en train d’être maltraités et peut-être tués. L’homme a confirmé qu’il partageait des images avec d’autres habitants du pays. Notre crainte est que partout dans le pays, ces bébés sont agressés sexuellement pour l’instant", a indiqué le lieutenant-colonel Heila Niemand au journal Times Live. Elle a également expliqué qu’ils devaient encore réussir à découvrir l’identité des présumés pédophiles du site d’échange dont ils n’ont pour l’instant que les noms d’utilisateur.
3000 images en dix minutes
Le policier anversois, Tim Van Eester a révélé qu’en à peine 10 minutes passées sur le profil de l’informaticien sud-africain, ils avaient pu télécharger plus de 3000 images. "Ce que j’ai vu relevait de la méchanceté gratuite". Les enquêteurs des deux pays espèrent pouvoir vite identifier les présumés pédophiles et ainsi être capables de sauver beaucoup d’enfants.