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Test ADN ou pas pour le prince Laurent dans le cadre de l'action en justice intentée par Delphine Boël? La question reste en suspens car le Prince a déclaré ne pas souhaiter communiquer à ce sujet.
Le prince Laurent ne souhaite pas communiquer sur un éventuel test ADN auquel il pourrait éventuellement se soumettre dans le cadre de l'action en justice intentée par Delphine Boël, a-t-il fait savoir jeudi à l'agence Belga. C'est mardi prochain que commencera le procès en recherche de paternité vis-à-vis du Roi Albert II.
"Il répète une fois de plus qu'il ne tient pas à être associé à cette procédure"
Plusieurs medias ont fait état de rumeurs selon lesquelles le Prince accepterait ou non d'être soumis à ce test. Le prince Laurent, qui estime qu'il n'a pas à se prononcer publiquement sur cette demande qui relève de la sphère privée, fait savoir qu'il "dément toutes les supputations qui circulent. Il répète une fois de plus qu'il ne tient pas à être associé à cette procédure". Concernant les articles de presse parus sur le sujet, il "regrette vivement que ceux qui rédigent les articles ne soient pas les mêmes que ceux qui écrivent les titres".
"Il n’y a pas de division au sein de la famille royale"
Invité sur le plateau du Journal à 13h, le chroniqueur royal Patrick Weber a commenté ce nouveau rebondissement dans l'affaire Delphine Boël. Selon lui, l'hisoire est très simple. "Ce qui se cache derrière tout cela, c’est de savoir si oui ou non le Prince pourrait jouer un jeu qui pourrait nuire d’une façon ou d’une autre à Albert II. Fondamentalement, il a juste affirmé qu’il ne voulait pas être associé à cela. Cela ne serait qu’ajouter un épisode en plus à une saga qui défraye la chronique déjà depuis longtemps", indique le chroniqueur. "Il faut bien reconnaître que depuis un an les différents camps au sein de la famille royale n’ont pas toujours livré une image très positive, harmonieuse et sereine. On est d’accord là-dessus. Mais là, en l’occurrence, face à l’affaire Delphine, il n’y a pas de division au sein de la famille", assure Patrick Weber.
"Elle ne veut pas être reine!"
De son côté, Delphine Boël se dit sereine. Son avocat précise que son but n'est pas de faire partie de la famille royale."Elle n’a pas envie d’être reine ou princesse. C’est juste d’être reconnue. L’argent n’est pas le motif. Elle aurait pu, pour l’argent, rester plutôt dans la famille Boël", affirme Alain De Jonge