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"Où es-tu? Qui t'a fait ça?": Orlan Mélon a disparu à Liège depuis plus de deux semaines, la piste de l'enlèvement est évoquée

Cela fait 20 jours qu'Orlan Mélon, originaire de Huy, n'a plus donné de signe de vie. On évoque un enlèvement entre Liège et Houffalize.

Ses proches sont terriblement inquiets : ce 24 janvier dernier, Orlan Mélon, âgé de 25 ans, s'est volatilisé. Ce jour-là, il se serait déplacé à bord d'une BMW 325 grise de 2007 conduite par un ami. C'est entre Liège et Houffalize qu'on a perdu sa trace.

Sur les réseaux sociaux, ses proches se mobilisent pour le retrouver : "Où es-tu ? Qui t'a fait ça ? Es-tu encore là ? Est-ce qu'on te retrouvera un jour ? Tu nous manques, on ne peut pas imaginer une vie sans toi", publient-ils sur une page Facebook dédiée.

D'après Sudinfo, les enquêteurs privilégient la piste de l'enlèvement dans le milieu du trafic de produits stupéfiants.

Orlan mesure 1m75 et est de corpulence normale. Il a les yeux bleus, de courts cheveux châtain clair rasés sur les côtés et une barbe soignée. Au moment de sa disparition, il portait un pantalon de training noir avec des motifs blancs sur les côtés, une veste matelassée bleue et des chaussures de sport bleu turquoise. Il est en possession d'un petit sac en bandoulière foncé.

"Il est demandé à Orlan de se manifester afin de rassurer ses proches", précise la police fédérale.

Si vous avez vu Orlan MÉLON ou si vous connaissez l'endroit où il se trouve, veuillez prendre contact avec les enquêteurs via avisderecherche@police.belgium.eu. Les témoignages peuvent aussi parvenir via le numéro gratuit 0800 30 300.

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Commentaires

2 commentaires

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  • En même temps, si c'est lié au trafic de stups, autant qu'ils règlent leurs histoires entre eux.

    Mick Mick
     Répondre
  • Si on soupçonne une affaire de trafic de stupéfiant, ce n'est pas sans raison ! Et ce n'est pas à un petit dealer qu'on s'en prendrait ainsi mais plutôt à quelqu'un bien trempé dans ce business. Pablo Escobar avait aussi une famille qui aurait pu s'inquiéter en cas de disparition, aurait-il fallu envoyer un appel de détresse aux médias ?

    Jean Lucet
     Répondre