La convention du Parti démocrate s'est poursuivie cette nuit avec les discours de Barack et Michelle Obama. L'ancien président a adapté son illustre slogan "Yes, we can" en "Yes, she can" pour soutenir Kamala Harris. Mais alors quelle est l'histoire de cette formule?
L'Amérique est "prête pour la présidente Kamala Harris", a lancé mardi Barack Obama depuis la convention démocrate de Chicago. "Et Kamala Harris est prête pour le job. C'est une personne qui a passé sa vie entière à se battre pour les gens qui ont besoin d'être entendus", a déclaré l'ancien président après une longue tirade visant le candidat républicain Donald Trump.
Aux États-Unis, c'est le deuxième jour de la convention démocrate à Chicago. Ce soir, les démocrates s'apprêtent à officialiser l'entrée en lice de Kamala Harris dans la course à la Maison Blanche. Deux discours sont très attendus, ceux du couple Obama.
Hillary Clinton, candidate malheureuse lors de l'élection présidentielle de 2016 face à Donald Trump, a prononcé un discours lors de la convention du Parti démocrate, dans la nuit de lundi à mardi. Elle a notamment appelé à faire élire la première femme à la tête des États-Unis. Un objectif qu'elle voulait elle-même atteindre il y a 8 ans. L'analyse de Sébastien Rosenfeld, notre journaliste référent pour les États-Unis.
Joe Biden a passé la main à Kamala Harris, et en quelques jours, l'espoir a changé de camp. La candidate démocrate monte dans les sondages et Donald Trump n'est plus assuré de retourner à la Maison Blanche. La chronique de Christophe Giltay.
Les démocrates tiennent, jusque ce jeudi, leur convention à Chicago. L'un des moments les plus attendus était le discours de Joe Biden. Longtemps candidat à sa succession, le président des États-Unis s'est finalement retiré de la course face à Donald Trump pour laisser la place à Kamala Harris. Joe Biden a profité de ce discours pour charger le candidat républicain.
Donald Trump a partagé sur les réseaux sociaux des images retouchées laissant à penser qu'il aurait le soutien de Taylor Swift et de ses nombreux fans en vue de l'élection présidentielle américaine.
Le président américain Joe Biden s'est engagé lundi à être le "meilleur bénévole" de la campagne de Kamala Harris face au républicain Donald Trump. Le dirigeant démocrate, qui a renoncé il y a un mois à se représenter, a été rejoint sur scène par sa vice-présidente après son discours à la convention démocrate de Chicago. Les deux ont partagé une longue étreinte sous les clameurs du public.
Le président des Etats-Unis Joe Biden va s'exprimer cette nuit lors de la convention démocrate à Chicago. Un discours pour passer la main à Kamala Harris, candidate de son parti à la Maison Blanche.
Aux Etats-Unis, la convention démocrate démarre ce lundi soir. C'est ce rassemblement de quatre jours qui doit officialiser la candidature de Kamala Harris pour l'élection présidentielle.
La vice-présidente américaine Kamala Harris sillonne dimanche la Pennsylvanie, un État clé pour la présidentielle de novembre, avant de rejoindre Chicago pour une convention d'investiture sous haute sécurité.
Une histoire dans laquelle l'ancien président revient sur une promenade en hélicoptère avec l'ancien maire de San Francisco menace de donner lieu à un litige juridique. Willie Brown a déclaré qu'il irait en justice si Trump continuait à raconter cette histoire. De son côté, Donald Trump a menacé de poursuivre le New York Times après une couverture critique de l'anecdote en question.
L'équipe de campagne de Kamala Harris a affirmé jeudi avoir trouvé un accord avec celle de Donald Trump afin que les deux candidats à la présidentielle américaine débattent deux fois avant l'élection.
Joe Biden a pour la première fois admis dans une interview diffusée dimanche avoir renoncé à un dernier mandat sous pression de son camp démocrate, en raison de son âge et face au "danger" d'une victoire de Donald Trump.
Le président des Etats-Unis Joe Biden a estimé dans une interview diffusée dimanche que son prédécesseur à la Maison Blanche et candidat républicain à la présidentielle Donald Trump représentait un "véritable danger pour la sécurité de l'Amérique" s'il était élu le 5 novembre.